• Cette autobiographie comme une confession du peintre a été recueillie par la journaliste Judith Perrignon, elle  nous a permis de découvrir l’homme derrière (ou devant !) et le peintre.

    Le sous titre émouvant « Autoportrait d’un fils, d’un  peintre, d’un fou » tente de nous laisser apercevoir la vie d’un artiste incontournable, de sa maladie et toute la douleur vécue par l’entourage.

    Nous avons évoqué « La Source » sa fondation destinée à mettre des enfants défavorisés au contact de l’Art.

     

    Si sa peinture n’a pas séduit toutes les participantes, nous avons découvert un homme profondément généreux.

     

    Groupe Les 4 Vents –  Février 2015

     

     


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  • Un polar déroutant, car l’auteur brouille parfaitement les pistes, ces nymphéas sont un tableau dans un tableau construit par petites touches avec des repentirs…pour les admirer on s’approche, on s’éloigne, on prend du recul et on s’égare dans Giverny !

    Génialement surprenante l’énigme policière  se projette  sur plusieurs générations.

    Livre unanimement   apprécié par les participantes nous avons conclu qu’il fallait se méfier de la longévité d’une vie de chien

    Groupe Polar – Janvier 2015

     

     


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  • C’est l’histoire de l’idée belle mais folle de Sam : monter l’Antigone d’Anouilh à Beyrouth en pleine guerre du Liban avec des acteurs issus des différentes communautés en guerre.

    Rassembler une Palestinienne, un chrétien, un Druze, des chiites, une chaldéenne  comme une trêve, quelques heures de paix pour une seule représentation.

    Sam est mourant et Georges son ami va exécuter ses dernières volontés et se rendre au Liban.

    A travers la quête de Georges pour monter la pièce, nous sommes confrontés aux atrocités de la guerre civile, aux bombardements de Beyrouth, aux massacres de Sabra et Chatila.

    Et l’utopie devient tragédie.

    Ces pages sont lourdes en émotion et en violence.

    Ce livre n’a pas fait l’unanimité dans le groupe, en effet quelques participantes ont été dérangées par la violence des scènes de guerre, n’ont pas adhéré à la beauté de l’entreprise ou à l’engagement du héros et ont reproché l’aspect reportage du roman.

    Pour les autres, un livre fort qui nous fait mieux comprendre le Moyen-Orient que beaucoup d’essais.

     

     

    Groupe Calliope – janvier 2015


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  • Ce premier roman à succès d’un nouvelliste plusieurs fois récompensé, Jean-Paul Didier Laurent, a touché la majorité d’entre nous par l’humanité et l’originalité de ses personnages parfois loufoques et par son style vivant et imagé.  Si certaines d’entre nous ont émis de sérieuses réserves sur le style (jugé inégal) et le personnage principal (jugé trop terne) , la majorité du groupe a apprécié cette rencontre improbable d’un héros un peu terne en effet , conducteur d’une monstrueuse machine à pilonner, dévoreuse de papier, de rats égarés et occasionnellement de chair humaine et d’une jolie dame pipi qui rêve du prince charmant en écrivant son journal de bord. La découverte d’une clé USB perdue dans le RER de 6h27 permettra de briser leurs deux solitudes…Ainsi des vies ordinaires engluées dans la routine peuvent être embellies et rendues plus supportables par une entraide réconfortante et surtout par le pouvoir magique des mots et de la littérature.

     

    Un monstre pilonnant des livres par milliers

    Des feuillets épargnés dans la rame acclamés

    Un chefaillon cruel et des rats sacrifiés

    Et le jeune ambitieux aux dents bien aiguisées

     

    Un cul d’ jatte enquêtant sur la dame pipi

    Qui compte ses faïences en écoutant des bruits

    Que nous pouvons à peine imaginer ici

    Une clé USB, un clavier à l’abri

     

    C’est l’histoire inventée de ces vies si menues

    Qui nous a toutes émues lorsque nous l’avons lue

    Du poisson solitaire partagez le dialogue

    Pour donner vie et force aujourd’hui à ce blog

     

    Micheline Segrestin

     

     

     

    Groupe de Neauphle le Château – janvier 2015


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  • Ce « vieux » sage est le seul à pouvoir chasser le félin tueur d’hommes qui a sévi à plusieurs reprises dans cette partie de l’Equateur. Il a longtemps vécu avec les indiens Shuars d’ Amazonie, connait bien la forêt, respecte les animaux qui la peuplent. Il accepte donc le défi. Mais cet être à la fois frustre et attachant a aussi une particularité. Il a  découvert sur le tard l’antidote au redoutable venin de la vieillesse : il sait lire et s’est pris de passion pour les romans qui parlent d’amour, le vrai, celui qui fait souffrir mais finit bien... Partagé entre la chasse et sa passion pour la lecture, ce « vieux » nous entraine dans un livre au style naïf, plein de charme et d’humour qui a séduit toutes nos lectrices.

     

     

    Groupe  Ecrivains du monde – janvier 2015


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