•  Mardi 9 avril se réunissait le groupe-discussion "Maison Rousseau"   Le thème proposé :   "Le papier, sa production et les conséquences pour l'environnement, la consommation et le recyclage."     Maison-Rousseau.JPGVoici la synthèse rédigée par Françoise L. animatrice du groupe avec depuis peu en renfort Nicole B.   "Le meilleur hommage que l'on puisse lui rendre est bien de lui écrire un petit "papier " car c'est de ce dernier qu'un groupe de fidèles participants a discuté à la Maison Rousseau. Il est né de la nécessité d'inventer un support pour l'écriture. Depuis l'origine, le papier se fabrique de la même manière mais les techniques modernes ne cessant d'évoluer, il nous sert aujourd'hui à tout et est à lui seul un monde.Cette réunion a permis d'évoquer les progrès réalisés par l'industrie papetière pour préserver l'environnement. Et comment ne pas évoquer l'avenir du papier face à l'avancée du numérique ? l'un et l'autre pourraient, ensemble, être utiles à l'homme...   "

     
     
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  • Les lecteurs du  groupe ont apprécié ce roman qui retrace la vie d’Adèle Gödel, la femme d’un des plus grands mathématiciens du vingtième siècle.

     

    On navigue entre l'histoire contemporaine qui se noue entre deux femmes, la jeune journaliste Anna, et le récit d'Adèle, sur fond de maison de retraite glauque, de ce que fut sa vie aux côtés de son génie de mari durant 50 ans. Celle-ci retrace leur couple atypique  et leur incroyable parcours, dans un XXième siècle mouvementé, de la Vienne bouillonnante des années 30 jusqu'au Princeton d'après-guerre où Einstein et Oppenheimer entre autres, voisins et amis, étaient fréquemment conviés à goûter la cuisine d'Adèle...

     

    Le parcours de ce couple étonnant est un enchantement pour le lecteur. C’est un livre intelligent, qui n’est pas réservé exclusivement aux amoureux des maths. Le groupe a apprécié l’écriture du premier roman de Yannick Grannec et malgré quelques longues explications mathématiques, le côté émouvant de la relation entre Adèle et Anna l’a emporté.

     

    Groupe Calliope Avril 2013


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  • Mia, poétesse, se retrouve seule à 55 ans, son mari a décidé de "faire une pause" avec une jeune collaboratrice de 20 ans plus jeune que lui.  Anéantie, elle décide de se rapprocher de sa mère dans le Minnesota. Elle passera l'été en compagnie de petites dames rigolotes délivrées des enjeux de la séduction, et de jeunes filles en fleurs embarrassées par leur féminité naissante.

     

    Bien que certaines d'entre nous aient été désorientées par la forme originale du livre, retours en arrière fréquents, analyse et introspection en cours de paragraphe, la plupart ont apprécié ce roman qui traite avec profondeur, mais beaucoup d'humour et d'autodérision des questions telles que la fin de vie, l'adolescence et les relations de couple.

     

    Merveille d'écriture et d'intelligence, cet ouvrage met l'accent sur la fragilité de l'humanité mais aussi ses ressources.

     

    Groupe 31 (Avril 2013)


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  • Pour Alix, quand elle entreprend ce pèlerinage, long et difficile, c'est un défi personnel.

    Avec humour elle nous décrit l'importance des pieds, des ampoules, des chaussures, du poids du sac à dos et comment gérer la fatigue physique.

    Dans un style journalistique (qui n’a pas été pas apprécié par toutes les participantes) elle raconte son expérience: son contact avec les autres, le partage et la générosité qu'elle trouve sur sa route.

    La troisième partie du livre devient plus profonde, elle comprend que le chemin  n'est jamais fini.....

    Le livre a été apprécié par la majorité du groupe et a donné matière à une bonne discussion.

     

    Groupe Les 4 vents (mars 2013)


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  • "Un bon roman policier pour Lady James est avant tout un bon roman."

    Nous avons  apprécié ce roman  bien écrit ; malgré pour certaines des longueurs dans la description des personnages et des lieux ; pour d'autres au contraire, elles ont  vraiment aimé le fait de mettre en place tous les personnages suspects (non sans humour) avant la narration des meurtres les plus sordides... et aimé l'accumulation de détails qui traduit le mieux la réalité. PD James passe en revue tous les maux de la modernité dans une société de plus en plus dure. C'est aussi une réflexion sur le passé et la fuite du temps.

    Discussion animée et contradictoire

     

     

    PS: Nous avions hâte de nous retrouver et surtout l'animatrice voulait étrenner son revolver 4.jpg(qui n'a pas lu le livre ???)quelqu'un d'autre n'a pas lu le livre


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