Ce livre a été unanimement apprécié. Il a suscité un intérêt inattendu pour les fossiles, ces prodigieuses créatures.

L’organisation de la société de cette époque et la condition des femmes y sont très bien décrites.

Tracy Chevallier aborde de nombreux thèmes dans un style très vivant (entre autres la science évolutive des espèces,  remise en cause de la pensée religieuse à ce sujet).

Elle mélange avec brio histoire, roman, recherche scientifique, étude de mœurs… 

Groupe : Paris et les écrivains (juin 2012)

Les nanotechnologies, la science de l'infiniment petit, appartiennent au très complexe nanomonde à la croissance extrêmement rapide. Elles représentent un énorme potentiel pour la médecine. C'est ce que ce documentaire très instructif nous a montré. En effet, dans le secteur médical, les nanotechnologies font depuis une quinzaine d'années des progrès considérables, même si un optimisme prudent est de mise. Les vingt prochaines années seront cruciales dans l'aboutissement de la recherche scientifique.

Groupe vidéo : (juin 2012)

Le  jour de ses cent ans ALLAN KARLSSON s’échappe par la fenêtre de la maison de retraite alors que tout le monde s’apprête à lui fêter son centenaire. Commence alors le récit désopilant, halluciné d’une cavale à travers la SUEDE.

L’auteur nous livre une fresque historique monumentale, notre héros va croiser des célébrités mondiales aussi  inattendues que : FRANCO, DE GAULLE, un TRUMAN non indifférent à la tequila, un STALINE enragé, un MAO amoureux… Plus c’est fantasque, plus cela nous transporte. JONAS JONASSON refait l’Histoire et le lecteur a envie d’y croire. 

Toutes les lectrices du groupe ont été séduites par la joie et la bonne humeur. Nous avons suivi sur une carte le parcours si précisément défini par l’auteur qu’il pourrait évoquer un rapport de police. Détente, rires nous ont éloignées de la morosité actuelle.

La présence insolite d’un bâton de dynamite dans la poche de pyjama de notre centenaire sur la couverture du livre a-t-elle joué un rôle ? Car ce roman est explosif !!!

Groupe Renaissance (juin 2012)

Un  livre âpre et dur qui secoue et qui ne s’oublie pas.  La rencontre de deux femmes dont les regards ne s’autorisent pas à se croiser tellement la violence et l’humiliation les taraudent. Au fil des pages le lecteur découvre leur terrible secret et le lien qui les unit. Deux femmes dont la même force de caractère leur insuffle la même capacité à entrer en résistance.

Un témoignage sur la violence faite aux  femmes en ESTONIE qui choque et bouleverse et qui permet une mise en lumière de ces « petits pays baltes » à l’histoire chaotique et encore trop souvent ignorés  en EUROPE occidentale.

Une écriture puissante et percutante qui impressionne.

Groupe Renaissance (juin 2012)

Une jeune femme malmenée par la vie, sur la défensive, qui respire l’air suffocant d’une usine et supporte des cadences infernales pour parvenir à élever son enfant. Voici  le tableau dressé,  mais les enjeux de ce récit ne se résument pas à cette évocation sociologique.

Joyce Carol Oates aborde dans ce roman : les origines, la filiation, la lutte contre le malheur…

Son héroïne  Rebecca, fille d’émigrants qui ont fui l’Allemagne nazie naît dans le port de NEW YORK.

Le père leur choisit un nom pour recommencer dans le nouveau monde mais l’intégration sera un échec pour sa famille et il sombre dans une folie paranoïaque et destructive. Rebecca grandit dans la terreur, commencent alors une fuite éperdue,  une lutte pour survivre. Refusant de se plier à son destin d’humiliée, elle n’hésitera pas à effacer son accent, son passé,  à multiplier les rencontres,  à endosser de nouvelles identités…

Mais est-il possible de vivre et d’aimer lorsque surgit le désir de retrouver son passé aussi cruel soit-il ?

Les lectrices du groupe se sont laissé emporter dans la prose fiévreuse de ce roman ample et foisonnant malgré un style jugé chaotique et inégal. Grâce à des découvertes de son propre biographe JOYCE CAROL OATES nous entraine avec  La Fille du Fossoyeur dans une inlassable exploration de l’identité et de son irréductible mystère.

Groupe : Renaissance (mai 2012)