• Aurélien de Louis Aragon

    Case Histories by Kate Atkinson

    Invisible by Paul Auster

    Rue du 14-Nivôse de François Beaugey

    Même le silence a une fin d’Ingrid Betancourt

    Le chapeau de Vermeer de Timothy Brook (Payot)

    Les ciels de Tiepolo d’Alain Buisine (Gallimard))

    Le rose de Tiepolo de Roberto Calasso (Gallimard)

    Dans la ville des veuves intrépides de James Cañón

    Une promenade magique dans Paris de Philippe Cavalier (Anne Carrière 2010)

    Suzanne Valadon de Jeanne Champion (Presses de la Renaissance ou Fayard)

    The rain before it falls by Jonathan Coe

    Le poète de Michael Connelly (Poche)

    Acadie, Terre Promise et Retour en Acadie d’Alain Dubos (Pocket) 

    Parle-leur de batailles de rois et d’éléphants de Mathias Enard (Actes Sud)

    Les naufragés de l'île Tromelin d'Irène Frain (J'ai lu 2010)

    Tableaux d'une exposition  de Patrick Gale (10/18)

    Les déferlantes de Claudie Gallay

    Ouragan de Laurent Gaudé

    Le monde selon Garp de John Irving (Poche Points)

    Prospérité sans croissance de Tim Jackson

    C'est la culture qu'on assassine de Pierre Jourde (Balland)

    Naissance d’un pont de Maylis de Kerangal (Gallimard Verticales 2010)

    Tales from Shakespeare by Charles and Mary Lamb

    Shutter Island (Thriller) by Dennis Lehane

    Dusty answer by Rosamond Lehmann

    Vasilsca de Marc Lepape (Galaade)

    Dis oui, Ninon de Maud Lethielleux

    Les Echelles du Levant d’Amin Maalouf (Poche)

    Le rocher de Tanios d’Amin Maalouf (Poche)

    Pélagie-la-charrette d’Antonine Maillet (Poche)

    La dernière à gauche en montant de Michèle Manceaux

    The Short Stories by Katherine Mansfield

    Paraíso inhabitado d’Ana María Matute

    Des hommes de Laurent Mauvignier (Minuit)

    Le mec de la tombe d’à côté de Katarina Mazetti

    El asombroso viaje de Pomponio Flato de Eduardo Mendoza

    La Voie  Pour l’avenir de l’humanité d’Edgar Morin (Fayard)

    Les chutes de Joyce Carol Oates (Poche)

    Purge de Sofi Oksanen

    Manon Lescaut de l’Abbé Prévost

    La nègre de Marie Rouannet

    L’Enchanteresse de Florence de Salman Rushdie (Folio, Gallimard)

    En avant route ! d’Alix de Saint André (Gallimard  2010)

    Le village de l’Allemand de Boualem Sansal

    Mr Ibrahim et les fleurs du Coran d’Eric-Emmanuel Schmitt

    Louise et Juliette de Catherine Servan-Schreiber

    Les Chênes d’or de Christian Signol

    La gifle de Christos Tsiolkas

    Madame de Staël de Michel Winock (Fayard)

    La voleuse de livres de Markus Zusak

     


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  • Le héros, Antoine Rey, architecte fraîchement divorcé d’Astrid, et père de trois enfants, décide d’emmener sa sœur, Mélanie fêter ses 40 ans  à Noirmoutier, lieu de vacances de leur famille.

    Ce week-end va réveiller beaucoup d’émotions et de souvenirs. Au retour en voulant révéler à Antoine quelque chose d’important concernant leur mère, Mélanie perdra le contrôle de sa voiture, et ce sera l’accident, elle sera gravement blessée.

    Que voulait-elle  lui révéler ? Ce mystère va devenir pour Antoine une préoccupation dévorante et insupportable. Ce sera le moment pour lui de faire le bilan de sa vie.

     

    Bien que ce livre soit écrit comme un thriller, et qu’il touche à des questions essentielles telles le poids des secrets dans une famille, les problèmes de l’adolescence, la fragilité de la vie, il  n’est pas arrivé à  captiver la plupart d’entre nous.  Trop de clichés, des invraisemblances et surtout une écriture  et un style assez ordinaires.    

     

    Groupe : trente et un (Mars 2011)


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  • Les Insurgés de la Terre sont pour Philippe Borrel, réalisateur de ce documentaire, les militants écologistes qui, un peu partout sur la planète, passent à l'acte pour défendre l'environnement. Les jeunes activistes que le FBI nomme écoterroristes sont traités aux Etats-Unis comme des criminels, au nom d'intérêts le plus souvent économiques. C'est cette dérive sécuritaire que le film analyse de manière édifiante, à travers les portraits très déroutants de ces activistes.

     

    Groupe : Vidéo (mars 2011)


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  • Nina Sayers, est première danseuse au New-York City Ballet. Sa vie est entièrement dédiée à la danse. Elle vit avec sa mère Erica, une ancienne ballerine toujours obsédée par son art et qui contrôle sa destinée Le rêve de Nina c’est d’obtenir, à force de travail jusqu’à l’obsession, le rôle principal dans la nouvelle production du « Lac des Cygnes » qui ouvrira la prochaine saison du Lincoln Center. Elle parvient à convaincre son directeur artistique, Thomas Leroy, qu’elle peut interpréter à la fois le cygne blanc avec son innocence et sa grâce et le cygne noir qui représente la fourberie et la sensualité.

    Le machiavélique directeur fait donc en sorte de décoincer sa virginale et frigide ballerine en lui désignant comme doublure, la très délurée Lily. En apprenant ce choix, la perfectionniste Nina bascule dans un délire paranoïaque. Les deux rivales vivent une amitié tordue qui fait découvrir à Nina son côté sombre, une imprudence qui menace de la détruire.

    La formidable mise en scène de Darren Aronofsky prend prétexte du Lac des Cygnes et de l’art difficile qu’est le ballet, pour développer ses propres fantasmes. Il nous entraîne dans une descente aux enfers terrifiante et sublime, une histoire de dérive de personnalité où Nina évolue à la découverte d’elle-même jusqu’à la folie. Un film horrifique qui utilise le monde de la danse qui passe pour être la plus haute forme d’art et nous dévoile son lot d’exigences corporelles. Black swan n’est pas seulement un thriller ou un film sur la danse, il englobe tous ces aspects et les sublime pour créer une histoire sombre et passionnante. Mais la perfection n’est pas de ce monde, sans cela…

    Groupe : Volver (Mars 2011)


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  • Pourquoi Les déferlantes ? Parce que au-delà des vagues c'est aussi l’image de ce que l'on prend dans la figure, ce sont les émotions qui nous bousculent, c’est ce qui nous oblige à aller plus loin jusqu’ à se mettre à nu "les vagues font comme cela, la vie aussi"… "il faut accepter d'être déferlé, de ne pas toujours se protéger. C'est ainsi qu'on avance, qu'on est peut-être vrai" nous dit l’auteur.

    Le gardien de phare aime trop les oiseaux

    Des oiseaux par milliers volent vers les feux
    Par milliers ils tombent par milliers ils se cognent
    Par milliers aveuglés par milliers assommés
    Par milliers ils meurent.

    Le gardien ne peut supporter des choses pareilles
    Les oiseaux ils les aiment trop
    Alors il dit tant pis je, m'en fous
    Et il éteint tout ! ! !

    Au loin un cargo fait naufrage
     Un cargo venant des îles...
     Un cargo chargé d'oiseaux...
     Des milliers d'oiseaux des îles...
     ...Des milliers d'oiseaux noyés...!

    Jacques Prévert

    Le poème de Jacques Prévert est le fil rouge de ce livre à l’atmosphère tragique si bien rendue par la présence de personnages typés en symbiose avec leur environnement. Une étude de caractères réussie par Claudie Gallay dans un style simple qui claque comme le ressac.

    Une histoire de deuil d’amour, la recherche d’un passé, un point d’appui pour l’avenir.

    Le livre aurait gagné d'être un peu plus court, ça traine un peu. Est-ce un nécessaire et lent cheminement vers une fin prévisible ?

    Quelques unes d'entre nous aurait préféré plus de descriptions de la mer, d'autre pensent que la mer est partout…

    Une participante accablée par des détails inutiles a trouvé le style poussiéreux.

    Les déferlantes ont beaucoup plus à la majorité  et donné lieu à une bonne discussion.

    Groupe : Quatre vents (Mars 2011)


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