• C'est l'histoire des pérégrinations d'une tribu préhistorique à mi-chemin entre l'homme et le singe, racontée par Ernest, un jeune de cette famille et dont le père génial a ramené une découverte en passe de changer le monde : le FEU.

     

    L'originalité de cette oeuvre écrite par Roy Lewis, féru de paléontologie, réside dans le fait qu'il adopte un langage contemporain voire châtié ! C'est ce décalage voulu, les anachronismes et les situations cocasses qui provoquent l'hilarité car l'humour est partout présent.

     

    L'auteur revisite, par le truchement de ce roman, les grands thèmes sociaux : éducation, rôle de la femme, écologie, éternel combat entre les  progressistes (le père) et les conservateurs (l'oncle Vania !) et la maîtrise du progrès technique menant souvent à la dégradation des relations humaines.

     

    Il est important de noter  que toutes les références scientifiques sont exactes ainsi ce roman nous cultive en nous divertissant et corrélativement en nous faisant REFLECHIR.

    Sous des dehors divertissants, c'est un roman profond qui soulève bien des questions sur l'humanité.

     

    Les différents thèmes pré-cités ont nourri la discussion et le groupe, en général a apprécié le décalage entre le fond et la forme  Groupe : Les peupliers

     


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    Film France 5  Empreintes du vendredi 3 avril 2009 :


    Le monumental film documentaire Shoah est l'oeuvre majeure de Claude Lanzmann. Ce bon numéro d'Empreintes nous livre un intéressant portrait de cet écrivain, philosophe, proche de Sartre et de Simone de Beauvoir, et aussi bien sûr, cinéaste. Mais cet homme resté jeune à tous les égards est avant tout un aventurier amoureux de la vie.

    Ce portrait nous incite à mieux connaître toutes les facettes de cet intellectuel engagé grâce à son livre "Le lièvre de Patagonie ", immense et sincère témoignage de la vie de Lanzmann et de sa force de caractère.

     

    Groupe Vidéo

     


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  • Dans ce livre Jean-Paul Kauffmann évoque par petites touches, sa captivité et les moments difficiles qui ont suivi son retour, où il lui a fallu se reconstruire et réapprendre à vivre normalement. A travers la maison qu’il a choisi pour son dépouillement et son emplacement au milieu de la nature landaise, il fait ses premiers pas vers la sérénité.


    Le groupe a apprécié cet ouvrage sincère et touchant qui, sans être passionnant  gagne à être lu jusqu’au bout pour en découvrir la sensibilité et le message que son auteur veut faire passer, sur le bonheur d’être vivant.


    Groupe : Trente et un


    A son retour de captivité, 3 ans après son enlèvement par le Djihad islamique, Jean-Paul Kauffmann savait qu’il ne pourrait plus jamais reprendre sa vie d’avant, ni son métier de journaliste. Il a éprouvé un profond besoin de chercher un refuge pour tenter de se rassembler. Il a 45 ans et déjà l’impression d’avoir épuisé une vie d’homme. C’est  une histoire d’amour entre cet homme, écorché de la vie et la maison des Tilleuls qu’il découvre au détour du sentier,  après neuf mois de recherche. Il l’a aimé au premier regard, parce qu’elle était belle, vaste, entourée de hauts arbres, logée dans un écrin et surtout négligée. Ensemble, ils vont réapprendre à respirer, à s’installer dans le présent comme s’il était perpétuel. Comme lui, elle semble délaissée et a besoin de panser ses plaies. Sa pudeur, son talent littéraire, l’élégance de son style ont conquis les lectrices du groupe. La Maison du retour est un livre à l’ancienne, avec pleins et déliés, ou l’auteur nous livre, sans jamais se poser en victime, le plus personnel de ses livres.  Il s’en dégage une atmosphère de sérénité ou les sensations sont presque palpables. Le soin qu’il met à décrire le bouquet d’un grand cru, les senteurs végétales, le goût de la pluie ou l’ADN aromatique de sa maison frôle la perfection. Même si l’homme apparaît pendant cette période de résilience, égocentrique, occupé qu’il est à se  reconstruire, le récit est riche, mais il a pu paraître ennuyeux à certaines.

    Groupe : Calliope

     


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  • Rassurez-vous, Antoine Galoubet a seulement enlevé A
    némiemais dans des circonstances plus qu'immorales ! Ce n'est pas lui qui l'a tuée mais il va profiter de la situation pour se venger de sa condition d'écrivain méconnu sévèrement amoché par le métier...

    Lisez d'un souffle ce roman burlesque que Jean-Pierre Gattégno écrit allègrement et avec talent pour nous faire rire mais aussi réfléchir sur les travers du succès littéraire.

    Tout le groupe a beaucoup apprécié l'atmosphère du livre inspiré du roman noir que l'auteur manie avec habileté pour nous offrir ici un polar à l'humour féroce et déjanté.
    Groupe : Plaisir Centre


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  • Compte tenu de la météo « catastrophique »… le traditionnel pique nique de clôture du groupe s’est réfugié chez Françoise !!!


    Bilan de lectures pour l’année très positif et déjà de nombreux projets pour l’année à venir…


    le 9/10/09


    Pour voir toutes les photos adressées par les participantes cliquez ici


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