• L'unanimité s'est faite sur ce livre. D'une écriture fine et précise, il relate les 3 jours qui ont fait basculer la monarchie française et disparaitre l'Ancien Régime, à travers les souvenirs d'une jeune femme proche de la Reine Marie Antoinette, sa Lectrice en fait, qui lui voue une adoration totale.

    Elle nous fait pénétrer au cœur du Château de Versailles et des détails de sa vie quotidienne, délicieuse et légère, puis, quand tout se délite, extrêmement rapidement, et que commence la débandade des grands personnages proche de la famille royale dans un désordre et une lâcheté extrême, la solitude du roi et le sang froid de la reine.

     

    Tout le groupe a pris du plaisir à cette lecture même celle qui "n'aime pas l'histoire" car le récit est extrêmement bien mené et la psychologie des personnages bien dessinée. On voit  les petites gens qui vivent au château et les nombreux métiers qui s'y exercent. On est au cœur de la cour et on tremble avec ces gens à l'écho des évènements parisiens.

     

    C'est un livre d'atmosphère, dense mais fluide, plein d'action et facile à lire.

     

     

    Groupe Renaissance  – Mai 2014


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  • L'unanimité s'est faite sur ce livre. D'une écriture fine et précise, il relate les 3 jours qui ont fait basculer la monarchie française et disparaitre l'Ancien Régime, à travers les souvenirs d'une jeune femme proche de la Reine Marie Antoinette, sa Lectrice en fait, qui lui voue une adoration totale.

    Elle nous fait pénétrer au cœur du Château de Versailles et des détails de sa vie quotidienne, délicieuse et légère, puis, quand tout se délite, extrêmement rapidement, et que commence la débandade des grands personnages proche de la famille royale dans un désordre et une lâcheté extrême, la solitude du roi et le sang froid de la reine.

     

    Tout le groupe a pris du plaisir à cette lecture même celle qui "n'aime pas l'histoire" car le récit est extrêmement bien mené et la psychologie des personnages bien dessinée. On voit  les petites gens qui vivent au château et les nombreux métiers qui s'y exercent. On est au cœur de la cour et on tremble avec ces gens à l'écho des évènements parisiens.

     

    C'est un livre d'atmosphère, dense mais fluide, plein d'action et facile à lire.

     

     

    Groupe Renaissance  – Mai 2014


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  • Ce petit livre de moins de 300 page a fait l’unanimité. C’est le récit poignant d’une relation mère-fille difficile à cause du mystère de la naissance de Marion, conçue sous l’occupation, des amours « interdites » entre une jeune française, Fanny, et un officier allemand, et la découverte progressive, par le lecteur, de la maladie chronique de Fanny qui est maniaco-dépressive, comme on disait à l’époque.

     

    Les parents de Fanny, bourgeois aisés, qui vivent avenue de Suffren, ont coupé les ponts dès qu’ils ont appris la relation « honteuse » de leur fille et elle élève seule la petite fille qui aime passionnément sa mère malgré les crises de plus en plus fortes et de plus en plus rapprochées. Elles vivent chichement dans le XX è car la mère travaille de manière chaotique. Quand elle va bien elle dessine, peint, illustre des livres d’enfants. Dans sa jeunesse elle jouait même du violon, mais tout cela est entrecoupé par les manifestations pénibles de la pathologie qui s’aggrave.

     

    Marion découvre ses grands-parents (Henri et Maud) un peu snobs et la sœur de Maud, Elisa qui la recueillent pendant les hospitalisations de sa mère. Ils sont gentils avec elle et Elisa fera le lien entre les deux domiciles. Elle raconte enfin à Marion les origines de sa naissance…

     

    C’est un livre émouvant, très bien écrit, construit, de manière originale avec une montée en puissance à l’instar de la tragédie, du mystère et du suspens qui tient en haleine jusqu’au dénouement final…

     

    Groupe Val Boissière. – Mai 2014

     

     

    P.S. Lecture et Dialogue a invité Marie Sizun en Octobre 2014 et nous serons ravies de la rencontrer afin de prolonger notre lecture.


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  • Ce petit livre de moins de 300 page a fait l’unanimité. C’est le récit poignant d’une relation mère-fille difficile à cause du mystère de la naissance de Marion, conçue sous l’occupation, des amours « interdites » entre une jeune française, Fanny, et un officier allemand, et la découverte progressive, par le lecteur, de la maladie chronique de Fanny qui est maniaco-dépressive, comme on disait à l’époque.

     

    Les parents de Fanny, bourgeois aisés, qui vivent avenue de Suffren, ont coupé les ponts dès qu’ils ont appris la relation « honteuse » de leur fille et elle élève seule la petite fille qui aime passionnément sa mère malgré les crises de plus en plus fortes et de plus en plus rapprochées. Elles vivent chichement dans le XX è car la mère travaille de manière chaotique. Quand elle va bien elle dessine, peint, illustre des livres d’enfants. Dans sa jeunesse elle jouait même du violon, mais tout cela est entrecoupé par les manifestations pénibles de la pathologie qui s’aggrave.

     

    Marion découvre ses grands-parents (Henri et Maud) un peu snobs et la sœur de Maud, Elisa qui la recueillent pendant les hospitalisations de sa mère. Ils sont gentils avec elle et Elisa fera le lien entre les deux domiciles. Elle raconte enfin à Marion les origines de sa naissance…

     

    C’est un livre émouvant, très bien écrit, construit, de manière originale avec une montée en puissance à l’instar de la tragédie, du mystère et du suspens qui tient en haleine jusqu’au dénouement final…

     

    Groupe Val Boissière. – Mai 2014

     

     

    P.S. Lecture et Dialogue a invité Marie Sizun en Octobre 2014 et nous serons ravies de la rencontrer afin de prolonger notre lecture.


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  • Dans ce livre, Marie Sizun revient dans le quartier de son enfance. Elle nous décrit des moments de vie qu'elle a vécus, les endroits où elle est allée avec sa mère, seule, avec son petit frère, les scènes qui l'ont marquée, les endroits qu'elle a aimés et ceux dont elle garde un mauvais souvenir. On devine, entre les lignes, les moments difficiles qu'elle a peut être vécus.

     

    Nous avons toutes apprécié ce livre, bien que désappointées au départ, par le fait que l'auteur parle d'elle à la 3ème personne, comme si elle voulait mettre une distance entre ce qu'elle a été, enfant, et ce qu'elle est devenue adulte. Avec un style sobre, concis et dépouillé et une écriture pudique et pleine de délicatesse, ce livre sensible décrit bien l'enfance et aussi, peut être l'enfant qu'on a été et qu'on retrouve ici.

     

    En outre, l'auteur a le mérite, dans ce roman,  de nous peindre avec beaucoup d'authenticité et de belles images, la vie de ces quartiers du XXème arrondissement de Paris, dans les années 1950."

     

     

    Groupe 31 – Mai 2014


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