LE BONHEUR DES DAMES

Un après-midi au bonheur des dames.

     Une relecture pour la plupart d’entre nous, mais une approche différente de celle de nos quinze ans où l’intérêt se recentrait sur l’idylle amoureuse du chef d’orchestre de ce magasin colossal et de la fraîche et talentueuse vendeuse. Nous voici, cette fois, toutes à l’unanimité enthousiasmées par ce roman intemporel qui nous plonge dans les rouages de cette machine à fabriquer de l’or qui « luit, flambe, consomme, détruit (…) »

    La publicité, les jours de promotion, le bonus à la vente, tout y apparait. Les mêmes pratiques de notre monde actuel pour appâter la clientèle, la place des femmes dans ce roman nous a également interpellées puisque ce grand Magasin semble les avaler comme les marchandises !...

Et si fois n’est pas coutume, nous sommes ressorties les mains vides de ce grand magasin, l’esprit lui, s’était enrichi : entrelacs de rubans de mots et de tissus d’images.

    Nous avons réellement apprécié la relecture de ce grand classique.

Groupe Renaissance – Février 2014

Quels points communs y-a-t-il entre Daniel Mercier, Fanny Marquant, Pierre Aslan et Bernard Lavallière en 1986 ? Aucun, à priori, si ce n'est que chacun va posséder à tour de rôle un même chapeau, et pas n'importe lequel : le célèbre feutre de François Mitterrand, le vrai, avec ses initiales dorées. Au gré du hasard, il passera entre ces mains et chamboulera les existences, doté des pouvoirs magiques que chacun voudra bien lui conférer.

De l'avis de toutes, la plume de l'auteur est très agréable. Ses phrases s'accordent avec les aventures du chapeau, la structure est parfaitement maîtrisée et le rythme est dynamique. L'idée d'avoir donné le premier rôle au chapeau est drôle et surtout ingénieuse. Des événements qui ont marqué les années 80 défilent en parallèle, ce qui nous a permis de les retracer au cours de la discussion.

Groupe des Cent Arpents – Février 2014

L'écrivain irlandais new-yorkais d'adoption tenait à traiter du 11 septembre à sa manière, sans évoquer le traumatisme américain. Avec habileté, il utilise la traversée entre les deux tours du World Trade Center, par un funambule devenu célèbre, pour nous plonger dans l'effervescente New-York des années 1970.

L'ensemble du groupe, dans une discussion passionnée, a apprécié l'étude approfondie des multiples laissés-pour-compte dans des quartiers de non-droit. La construction originale du récit et l'écriture adaptée aux circonstances ont littéralement dérouté certaines lectrices non enthousiastes. Comme beaucoup de romans modernes, celui-ci souffre de quelques longueurs.

Cet hymne à New-York nous a amenées à réfléchir sur le sens profond de l'existence, la vie qui continue, toujours et malgré tout...

Groupe Plaisir Centre – Février 2014

De l'eau, de l'amour, des légendes...

Le Nil est le fil conducteur de ce livre.  D'une très belle écriture l'auteur nous fait sentir les parfums, la chaleur et voir les couleurs de cet immense fleuve aux changements constants.

La construction du livre n'est pas simple et une relecture peut être nécessaire pour en apprécier les subtilités et aussi l'atmosphère autour de la population déplacé afin de faire place au lacNasser.

La description de personnages particulièrement attachants nous les rendent vivants et sympathiques.

Le groupe a bien aimé ce livre et la discussion a été vive avec quelques souvenirs personnels !!

Groupe Les quatre vents – Février 2014

De l'eau, de l'amour, des légendes...

Le Nil est le fil conducteur de ce livre.  D'une très belle écriture l'auteur nous fait sentir les parfums, la chaleur et voir les couleurs de cet immense fleuve aux changements constants.

La construction du livre n'est pas simple et une relecture peut être nécessaire pour en apprécier les subtilités et aussi l'atmosphère autour de la population déplacé afin de faire place au lacNasser.

La description de personnages particulièrement attachants nous les rendent vivants et sympathiques.

Le groupe a bien aimé ce livre et la discussion a été vive avec quelques souvenirs personnels !!

Groupe Les quatre vents – Février 2014