• « Le poète assassine sans rime ni raison ».

     

    Jack Mc Evoy, journaliste n’accepte pas le suicide de son frère jumeau, Sean.

    Sean était flic et en menant l’enquête, en parallèle avec les autorités, Jack découvre que d’autres suicides de flics sont restés inexpliqués et sont étrangement accompagnés de citations d’Edgar Allan Poe.

    Nous voici happées par un roman remarquable à la construction originale, avec une mécanique bien huilée, des rebondissements au rendez-vous, des personnages complexes.

    Les fausses pistes sont nombreuses, mais jamais on ne s’égare, le rythme est soutenu, l'intrigue enfle crescendo ; on ne le lâche plus.

     

    Personne n’a deviné l’identité du coupable avant les toutes dernières lignes…

     

    Nous avons à l’unanimité aimé ce livre et décidé de lire la suite en septembre prochain !

     

    Groupe : polar (mai 2011)


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  • Vaste sujet que celui de la rumeur. Elle court, elle court... quelles que soient son origine et sa nature ! Nouvelle officieuse vraie ou fausse, elle se répand dans le public, nourrie par les nouveaux moyens de communication. Mais ses mécanismes restent difficiles à expliquer même pour des chercheurs.

     

    Sorte de "ciment social", elle durera aussi longtemps que les sociétés humaines

     

    Groupe : Vidéo (mai 2011)


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  • Livre unanimement apprécié pour sa fraicheur poétique, sa sagesse et son humour présent même dans les moments les plus graves. Il nous donne une leçon d’amour de la vie, d’ouverture et de tolérance et il s’en dégage une grande spiritualité, transcendant les races et les religions.

     

    Groupe : Paris et les écrivains (mai 2011)


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  • Ils ont été appelés en Algérie au moment des « événements », en 1960. Deux ans plus tard, Bernard, Rabut, Février et d'autres sont rentrés en France. Ils se sont tus, ils ont vécu leurs vies.
    Mais parfois il suffit de presque rien, d’une journée d’anniversaire en hiver, d’un cadeau qui tient dans la poche, pour que, quarante ans après, le passé fasse irruption dans la vie de ceux qui ont cru pouvoir le nier.

     

    Un cri poignant qui a mis certaines mal à l’aise. Un livre de plaies qui ne cicatrisent pas.

    L'écriture percutante de Laurent Mauvignier, la puissance des mots et surtout des non-dits démontrent à quel point la violence de la guerre modifie le comportement et influence le destin des Hommes.

    Plusieurs participantes, décontenancées par le style de l’auteur, ont eu la tentation d’abandonner lecture de ce roman.

    L'une d’entre nous, découragée à la lecture, a beaucoup apprécié la discussion et les riches échanges provoqués par cette lecture.

    Groupe : Quatre vents (mai 2011)


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  • Derrière la simplicité de son titre se cache un livre surprenant. Les premières pages déroutent par l'accumulation des termes techniques. Mais quiconque dépasse ce stade et se laisse porter par la poétique des descriptions découvre la polyphonie du texte qui ne se limite pas à un récit de travaux publics. Un style plus sobre présente alors tous ces destins qui s'entrecroisent pour les nécessités du travail.

    Sur un thème peu courant et fort documenté, ce livre n'est qu'espace et humanité.

                  

    Cependant, quelques lectrices n'ont pas vraiment réussi à pénétrer dans ce chantier et à entrevoir la force du regard singulier porté par Maylis de Kerangal sur le monde actuel.

     

    Groupe : Plaisir- Centre (mai 2011)


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